Créé en 1999, le groupe des 20 ou G20 est un forum économique composé de 19 pays avec l’Union Européenne pour surmonter les crises financières attaquant les pays émergents en 1990. Pour sortir de ces crises économiques, plus de 400 entrepreneurs ont incité les chefs d’Etats des G20 à faire de l’entreprenariat une ligne de force pour relever l’économie mondiale. D’après ces entrepreneurs, l’entreprenariat est le moteur essentiel de la croissance et de l’innovation de tous les pays, en développement ou développés.

Le principe de la « règle de trois »

Afin que la croissance économique des G20 soit stimulée, un travail ensemble avec un fort esprit d’équipe entre grandes entreprises, entrepreneurs et gouvernement doit être établi. C’est le principe de la « règle de trois ». D’après l’édition du Baromètre EY, l’entreprenariat est un levier incontournable pour rétablir la croissance économique.
En effet, dans les pays européens, plus de 60% des emplois ont été créés par des entrepreneurs. Mais en général, aucun pays des G20 n’a pas le mérite d’avoir un écosystème entrepreneurial idéal car presque tous les entrepreneurs trouvent de difficultés à obtenir un financement. Pour remédier à cela, il faut réviser la culture entrepreneuriale en mettant en place des financements alternatifs : la micro finance, le corporate venture ou l’accès aux prêts bancaires.

Le potentiel entrepreneurial est encore sous-exploité

Au sein du G20, le Baromètre a remarqué que la création d’entreprise est plus simple en France qu’ailleurs. Cela est dû au fait que le coût, le délai et les démarches administratives y sont plus économiques et pas très compliqués, selon l’avis des entrepreneurs. D’après ces derniers encore, le potentiel entrepreneurial est encore sous-exploité car la culture entrepreneuriale, qui fait partie des critères clés du Baromètre, est encore plus faible dans les pays du G20.